Tu n'éviteras pas, mon amour.
Je vais vous mettre avec son visage contre le mur.
Nu, avec vos seins écrasés contre le mur.
J'appuie ma poitrine haletante sur votre dos,
vous sentirez mon souffle sur vous,
comme une gazelle qui est soumis au lion
en attendant la mort.
Je mettrai ma bouche sur votre cou
et je ferai de ma salive
la sauce de votre chair tendre.
Toi, immobilisée, m'entendre derrière.
Pousser mon poignard dans votre chair
Coup sur coup renouvellerons notre délire.
Dans une frontière instable de douleur et de plaisir.
Jusqu'à que coulera en vous, les flots de ma convoitise.
Et en ce moment je deviendrai ta proie.